• tulipe (pour Marie-Line)


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  • c'est ce qu'on dit ici à quelqu'un pour lui souhaiter "bonne chance" comme on dirait "merde" avant un examen, un rendez-vous, l'autre devant répondre "crepi"

    Evidemment on pourrait le souhaiter à ce couple qui s'éloigne, l'amour étant une sacrée expérience dans laquelle un peu de chance peut servir aussi (au départ).

    Maais c'est surtout à la France qu'on a envie de dire "in bocca al lupo"; de loin, je n'ai pas connu la fièvre des débats, les Italiens étant sûrs et rassurés qu'Hollande passe. Sarkozy pour eux - un peu schématiquement est leur Berlusconi (qui était quand même bien pire dans le genre bling bling). je suis ravie mais reste dubitative. La crise ici je le répète chaque fois ,est terrible (je n'ose imaginer la Grèce), vraiment je la vois à chaque fois plus dévastatrice. Le seul point positif étant que les familles se retrouvent davantages dans des sorties dans la nature, des rencontres plus simples , que les gamins courent dans les bois et les prairies, qu'on revient à des valeurs plus humaines. Il faut se serrer les coudes. Je ne suis pas certaine que la France ne connaisse ces jours noirs sous peu, je m'en désole. Cet homme ne fera pas de miracle et même si sa politique (du moi sa promesse) est rassurante, hum... j'attends de voir.

    -"On va s'en sortir?

    -Oui, absoument...'

     

    cccccc


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  • je crois que c'est ce qui me dérange sur facebook en fait ,cette histoire de murs partout comme un dédale sans issue, des murs et chacun tourné vers sa brique et par vers les autres:"mon mur"... rien que l'expression me glace; personnellement je file dehors et par tous les temps,  ce blog je voudrais qu'il soit une fenêtre ouverte, tu as sauté le mur et tu es dans la nature. Et je te rejoins.

     Ceci sur les vrais murs ,ici à Venise près du stade


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  • lAVER SON LINGE SALE EN FAMILLE

    LA VIE POLITIQUE VA6TELLE VRAIMENT CHANGER,


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  • les dimanches sous la pluie


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  • qu'on  me pardonne si je tâtonne sur ce nouvel espace... j'apprends, et je publie un peu de façon désordonnée


    (comme d'hab' en somme)

    j'aime bien cette nouveauté


    me suivra-t-on?

     


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  • Sur mon fauteuil devant le feu, il pleut.il pleut

    Je rentre d’une grande balade dans la campagne. Je n’ai pas emmené Snook avec moi,  ce n’était pas un temps à mettre un chien dehors. J’avais besoin quand même de respirer du vert, les hirondelles arrivées depuis moins d’une semaine fauchaient les blés de leurs ailes sifflantes. Autant dire que je n’ai croisé personne, à pied s’entend. J’étais pourtant bien équipée, un imper qu’on m’a offert- les autres ayant impitoyablement été qualifiés de « minables » (en gros, ils prenaient l’eau très rapidement).J’ai rencontré la Punto remplie de mes oncles et tantes, hilares : « on savait bien que ça ne pouvait être que toi ! »…ils vont me raconter bientôt cet épisode qui les amuse encore de la « grande époque » où je venais dans une maison sans salle de bain, eau chaude et chauffage (je faisais bouillir de l’eau pour réchauffer l’atmosphère !) et où j’arrivais chez eux de promenades interminables avec les cheveux « gelés sur la tête ». J’étais- il faut avouer -très amoureuse.

    Et puis j’avais vingt ans.

    La campagne aujourd’hui  exulte de verdure, les tiges sont drues et presque violentes. Tout pousse avec célérité et gorgé d’une vie tenace. J’aime bien cette végétation épaisse.

    Les voisins, ceux qui ont adopté le chien, ont fait demi-tour (m’ayant reconnue, eux aussi, décidément…)  avec leur grosse voiture pour me ramener chez moi. Quand ils ont vu sous la capuche mon sourire aussi illuminé que mouillé et écouté mes dénégations, j’ai lu dans leurs regards quelque chose d’indéfinissable bien que facilement imaginable : un mélange de consternation, d’hilarité, et d’une once de peur « on avait raison, cette fille a vraiment un grain ». Le pire bien sûr est quand ils ont remarqué que je tenais dans la main, gentiment fermé, un parapluie (je l’avais oublié mais à ma décharge, avec cette chute libre de trombes, le pauvre aurait fait pâle figure). Un peu plus tard, j’ai compris l’expression trempée comme une soupe en regardant les flaques que je laissais sur le carrelage. Il suffit de se mettre au coin du feu, d’allumer quelques bougies, d’enfiler des vêtements secs, confortables et chauds et le tour est joué. En parlant de tour, je me demande bien ce qu’il va résulter de ces élections…


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  • http://data0.eklablog.com/floritalia2/mod_article46217086_4fa6d0880ba27.jpg http://data0.eklablog.com/floritalia2/mod_article46217086_4fa6d0891aa34.jpg


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  • venise


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